La fin des vacances... les siennes. Il est une heure moins vingt du mat' et je peux pas dormir, et je fais des conneries. Elle m'arracherait les yeux. Comme si elle était capable de me faire du mal.
Après avoir tenté de bloquer mes pensées en faisant du PC, j'ai dû faire face à mes responsabilités (sortit les chiens). Et, la lumière éteinte, la maison endormie, lorsque je suis arrivée devant la laisse de Fripouile (un grosse boule de poils géniale), j'ai vu la boîte de tube de mon père, et je dois avouer que j'ai même pas réfléchi. Je me suis fait une clope, et j'ai sorti mes chiens en fumée. Mon père fume des brunes (pour ceux qui s'y connaissent) (comme si j'avais des lecteurs) (on va faire comme si), alors je vous laisse imaginer l'effet sur un mec à l'équilibre précaire, fumeur occasionnel, qui a mangé il y a plus de trois heures. La tête m'a tourné, et maintenant mon ventre me fait souffrir. Et je suis sur son blog. Qui a dit "l'amour rend con"? Parce que c'était un connard. Jacques Prévert a dit "on reconnaît le bonheur au bruit qu'il fait quand il s'en va". Et, dans mon appart silencieux, j'entend mes vacances se casser la gueule bruyamment dans un puit sans fond, style "la communauté de l'anneau"...
Chérie, m'en veux pas, si je suis quelqu'un de bien, ce n'est que grâce à toi, et quand t'es pas là, je pars en couille... N'en parlons plus, d'accord?
Putain, j'ai mal au bide... j'vais aller bouffer un truc.
dingue-chevelu
Bienvenue dans le fruit de mon cerveau malade!!!!!!
dingue-chevelu
Bienvenue dans le fruit de mon cerveau malade!!!!!!
Lundi 2 novembre 2009 à 0:47
Mercredi 21 octobre 2009 à 13:08
J'aime bouffer. Pardon, manger. Mais j'aime aussi bouffer. Me goinfrer. Avaler a un rythme soutenu une grande quantité de nourriture bien grasse ou bien sucrée (ou les deux). Bordel, je vais foncer m'acheter de quoi me goinfrer en regardant un film. En ingurgitant un grand volume de café.
Putain, qu'est-ce que j'aime le café!!!! Je peux en boire des litres. J'ai même développé une dépendance. A un moment. Ne pas boire de café me donnait mal au crâne. Ensuite j'ai eu mal au crâne pour une autre raison... (cf article précédent). La première chose que je fais le matin, c'est de faire couler une cafetière que je verserai dans une thermos que j'emporterai au lycée avec moi. Tandis que mes potes font leur pause-clope, moi je m'envoie un (ou deux) café. Et c'est de plus en plus bon, au fur et à mesure que le temps se refroidit. Une tasse de café fumant à la main, debout dans la fumée de cigarette, je renifle à pleins poumons l'odeur de mon sombre nectar (qui a dit tabagisme passif?) avant de l'avaler goulûment. Je me vide une thermos au bahut, et je me reprend une ou deux tasse en rentrant à la maison. On ne boit jamais trop de café. Et je dors comme un bébé.
C'est cool de raconter sa vie sur un blog que personne ne lira. Ce que je viens d'écrire n'intéresse personne, mais ça n'emmerde personne, et ça m'occupe. Je tue le temps (avant l'inverse... désolé Bénabar). J'attends la fin de la journée avant d'appeler la femme que j'aime. Qu'est-ce que je l'aime... Ma vie ne serait pas fade sans elle. Elle ne serait pas terne. Ni triste. Ni vide. Elle ne serait pas. Ma vie est une extension de la sienne. Elle vous dirait que c'est l'inverse, mais moi je connaît l'état d'esprit que j'avais avant de la rencontrer. Un état d'esprit en exponentielle dégradation. Un vide qui faisait écho à du vide. (Qui a dit dépression?)
Mon amour, je sais que tu liras ceci (tu seras d'ailleurs peut-être la seule, ou du moins la seule avant un moment). Je t'aime. Je me répète surement, mais te dire je t'aime me semble à présent faible au regard de la force de mes sentiments pour toi (mais j'imagine qu'on se lasse pas de se l'entendre dire, hein?^^). L'amour que je te voue coule dans mes veines, fait battre mon coeur, alimente mes organes et muscles... Me fait vivre. Je t'aime.
Putain, qu'est-ce que j'aime le café!!!! Je peux en boire des litres. J'ai même développé une dépendance. A un moment. Ne pas boire de café me donnait mal au crâne. Ensuite j'ai eu mal au crâne pour une autre raison... (cf article précédent). La première chose que je fais le matin, c'est de faire couler une cafetière que je verserai dans une thermos que j'emporterai au lycée avec moi. Tandis que mes potes font leur pause-clope, moi je m'envoie un (ou deux) café. Et c'est de plus en plus bon, au fur et à mesure que le temps se refroidit. Une tasse de café fumant à la main, debout dans la fumée de cigarette, je renifle à pleins poumons l'odeur de mon sombre nectar (qui a dit tabagisme passif?) avant de l'avaler goulûment. Je me vide une thermos au bahut, et je me reprend une ou deux tasse en rentrant à la maison. On ne boit jamais trop de café. Et je dors comme un bébé.
C'est cool de raconter sa vie sur un blog que personne ne lira. Ce que je viens d'écrire n'intéresse personne, mais ça n'emmerde personne, et ça m'occupe. Je tue le temps (avant l'inverse... désolé Bénabar). J'attends la fin de la journée avant d'appeler la femme que j'aime. Qu'est-ce que je l'aime... Ma vie ne serait pas fade sans elle. Elle ne serait pas terne. Ni triste. Ni vide. Elle ne serait pas. Ma vie est une extension de la sienne. Elle vous dirait que c'est l'inverse, mais moi je connaît l'état d'esprit que j'avais avant de la rencontrer. Un état d'esprit en exponentielle dégradation. Un vide qui faisait écho à du vide. (Qui a dit dépression?)
Mon amour, je sais que tu liras ceci (tu seras d'ailleurs peut-être la seule, ou du moins la seule avant un moment). Je t'aime. Je me répète surement, mais te dire je t'aime me semble à présent faible au regard de la force de mes sentiments pour toi (mais j'imagine qu'on se lasse pas de se l'entendre dire, hein?^^). L'amour que je te voue coule dans mes veines, fait battre mon coeur, alimente mes organes et muscles... Me fait vivre. Je t'aime.
Mercredi 21 octobre 2009 à 12:53
Sinusite, ça veut dire plusieurs choses pour moi...
D'abords, une douleur atroce. Une pression ingérable qui donne envie de se fracasser le crâne contre la première surface dure que je puisse trouver. Une collection impressionnante de cris en tous genres (mon amour...). Ma première perfusion (putain, j'en avais bien besoin...). Des médocs (dégueu, cet antibiotique).
Et puis quatre jours de vacances. Stratégiquement placés juste avant les vacances scolaires. J'en suis actuellement à la moitié de mon deuxième jour de vacances anticipées. Et je me fait chier. Je suis seul chez moi. Au moins, quand je suis en cours, mon esprit est occupé. Là, non. J'ai le temps de penser. Et ça craint. Parce qu'en plus, je regarde des séries pour jeunes. C'est con. Il faut pas. Parce que je suis seul chez moi et que mon amour est à 50 kilomètres. De longues, longues journées.
Putain, plus que deux jours. ENCORE deux jours..
D'abords, une douleur atroce. Une pression ingérable qui donne envie de se fracasser le crâne contre la première surface dure que je puisse trouver. Une collection impressionnante de cris en tous genres (mon amour...). Ma première perfusion (putain, j'en avais bien besoin...). Des médocs (dégueu, cet antibiotique).
Et puis quatre jours de vacances. Stratégiquement placés juste avant les vacances scolaires. J'en suis actuellement à la moitié de mon deuxième jour de vacances anticipées. Et je me fait chier. Je suis seul chez moi. Au moins, quand je suis en cours, mon esprit est occupé. Là, non. J'ai le temps de penser. Et ça craint. Parce qu'en plus, je regarde des séries pour jeunes. C'est con. Il faut pas. Parce que je suis seul chez moi et que mon amour est à 50 kilomètres. De longues, longues journées.
Putain, plus que deux jours. ENCORE deux jours..
Lundi 5 octobre 2009 à 9:16
A toi qui lit cet article... t'es peut-être le seul.
Lundi 5 octobre 2009 à 9:14
La vie est dure. C'est un cliché.
La vie est injuste. Cliché.
La vie m'en veux. Débilité.
La vie me casse sérieusement les couilles. Hum... pertinent.
Nous voilà maintenant à environ 5 semaines de la rentrée. A 3 semaines des vacances. Ma vie n'a jamais été aussi... j'arrive même pas à trouver de mots. Je ne connais une réelle joie de vivre que trois jours par semaine. Le reste du temps je vais en cours, je travaille (hum...), je me nourris, je dors, j'essaie de me marrer le plus possible avec les autres... Bref, je survis. Je m'accroche. Je détourne mes pensées le plus possibles des 50 km qui me séparent de celle sans qui je ne suis rien. Je passe de bonnes journées quand j'arrive à ne pas penser à notre séparation. Ca ne veut pas dire que je ne pense pas à elle. c'est la tout le problème d'ailleurs. Je ne peux pas m'empêcher de penser à elle, et généralement, le reste suit...
Alors voilà. Je ne sens la vie m'habiter que 3 jours par semaine. Et... c'est dur. De se dire que j'en ai encore pour deux ans à ce rythme.
La vie me casse sérieusement les couilles... Non. La vie me passe la corde au cou. Mais je me débats trop pour elle.
La vie est injuste. Cliché.
La vie m'en veux. Débilité.
La vie me casse sérieusement les couilles. Hum... pertinent.
Nous voilà maintenant à environ 5 semaines de la rentrée. A 3 semaines des vacances. Ma vie n'a jamais été aussi... j'arrive même pas à trouver de mots. Je ne connais une réelle joie de vivre que trois jours par semaine. Le reste du temps je vais en cours, je travaille (hum...), je me nourris, je dors, j'essaie de me marrer le plus possible avec les autres... Bref, je survis. Je m'accroche. Je détourne mes pensées le plus possibles des 50 km qui me séparent de celle sans qui je ne suis rien. Je passe de bonnes journées quand j'arrive à ne pas penser à notre séparation. Ca ne veut pas dire que je ne pense pas à elle. c'est la tout le problème d'ailleurs. Je ne peux pas m'empêcher de penser à elle, et généralement, le reste suit...
Alors voilà. Je ne sens la vie m'habiter que 3 jours par semaine. Et... c'est dur. De se dire que j'en ai encore pour deux ans à ce rythme.
La vie me casse sérieusement les couilles... Non. La vie me passe la corde au cou. Mais je me débats trop pour elle.